C’est en 1972 que Lacan a emprunté à Guilbaud ce nœud borroméen. Il a trouvé qu’il lui allait « comme bague au doigt » pour y démontrer ce qu’il avait déjà mis en évidence depuis fort longtemps, les trois registres du symbolique, de l’imaginaire et du réel . Séminaire XIX, « …Ou pire », séance du 9 février 1972. |
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source le goût de la psychanalyse, | ||
pour le coup, ça flotte sérieusement du côté des Iles Borromées...!!! et le bateau prend l'eau ! sur gaogoa, |